Epousailles de Soeur Doucebrise et de Frère Kerraaoc

[Feuilllle]

<<< DONG DONG DONG>>>

... C'est une chose merveilleuse que de vivre dans l'ombre bénéfique d'un clocher : celui-ci possède bien la corde directrice pour enclencher la Dame de Bronze, mais peut aussi se mettre en route de la minuscule plate-forme de la tour du carillon, par simple manette, cependant lourde à tirer. Sans doute parfois l'Appel des cloches peut aussi servir de tour de guet.

Sourire aux lèvres, Feuilllle s'active dans le campanile, observant de haut la campagne entourant la Citadelle : c'est un grand jour, un jour bleu d'automne, car Le Très-Haut, dans Sa magnificence et Sa bonté,  à fermé l’œil et le repos de la nuit avec une aube froide mais sans nuages. Aucune draperie nuageuse n’arrête les sons de fonte, joyeux, ni ne cache l'immensité de la voûte céleste.

La petite chapelle est prête, simplement fleurie de feuillages automnaux et de fleurs de saison. Les Objets du Culte, qu'elle a essuyés avec soin hier, scintillent presque autant que les nombreux cierges allumés sur l'autel et dans leur bougeoirs fixés au murs, et dont la flamme et la Lumière rappellent autant la Foi et sa Lueur.

... Elle redescend calmement, admire encore l'ouvrage dentelé et brodé de la nappe d'autel, respire  les bouquets avec délice -Oh cette précieuse et profonde odeur d'humus frais... puis ravive les braséros tranquillement.
La chaleur qu'ils prodiguent est aussi apaisante que le discret charme festif de la Chapelle, aussi indispensable à leurs corps que l'Amitié Aristotélicienne et la piété le sont à leurs Âmes...  

[Liloia de Baish]

J'entre dans la chapelle vide encore du brouhaha dont elle sera bientôt emplie quand tous les convives arriveront. J'aime ces moments de calme qui permettent le recueillement dans ce lieu où l'on se sent bien Une bulle de paix et d'amour alors que tout autour la guerre sévit ...

Je me promène entre les travées, admirant la décoration automnale, me chauffant les mains à la chaleur des petits braséros posés ça et là.

Tout y est d'un charme discret et doux , doux comme la lumière qui brille en ce lieu.

Je m'agenouille au plus près de l'autel, priant pour ceux qui ont rejoint si vite ce paradis auquel nous aspirons tous, mon père Lugan, mon amie , mon autre moi même, ma Mairina Stéphandra , Dandolo , leurs enfants et récemment Peccatore ... Et puis , je prie aussi pour les vivants , pour mon amore Yocto, pour que tous conservent la joie et la paix en leur coeur.

Je souris , je viens d'apercevoir Feuilllle. J'avance les mains tendues vers elle, heureuse de la voir là.

Ma Mère , ma Sœur, je te salue. Ta présence m'apporte le calme et la joie... Aujourd'hui est un beau jour pour notre communauté.

Je lui souris une nouvelle fois, je suis bien ici.

[Yocto]

Yocto s'était apprêté pour l'occasion avant de se rendre à la Chapelle.

Il se recueillit dès l'entrée mais entendit sa belle un peu plus loin.

Ma Mère , ma Sœur, je te salue.

En relevant les yeux, il ne put s'empêcher de dire :

Comment ça ? La Belle-mère !

S'approcha de l'autel à son tour.

[Loupameth]

Il était de garde .... qu'importe il il quitte son poste ... même si on l'accuse d'abandon de poste .. il en a rien a foutre , il tenait absolument assisté au mariage de sa Tante et Capitaine Doucebrise .

Loupameth entre donc dans la chapelle ou déjà Feuille , Yocto et Liloia son présent . Il s"avance en direction de l'autel .

Soeur Liloia , Yocto et feuille bonjour voila une belle journée qui s'annonce , je suis tout heureux d'assister a se mariage .

[yogin]

Yogin entra avec son fils dans les bras, il avait fait faire une tenue expres pour lui. Le bébé s'approchait de ses un ans et il etait calme. Yogin, quand a lui, etait habillé de la tenue traditionnelle de l'ordre. Il s'avanca dans les allées et s'asseya sur un banc tout en veillant sur le petit.

[Kerraaoc]

Bé non bon sang, plus à gauche ! ... Non, des roses grenats j'ai dit !

La nervosité de Kerraaoc grandissait de minute en minute.

Il s'était levé et déjà préparé à l'aube avant de se rendre à la Chapelle.

Depuis, il faisait les cent pas de long en large parmi la Nef centrale, tout en faisant tourner en bourrique les pages présents pour les dernières finitions.

Il pensait à sa future femme qui, peut-être, devait aussi se préparer avec Giulietta et Liloia.

Il finit par sortir prendre l'air automnale aux abords de la Chapelle quelques instants.

A son retour, il vit que certains invités étaient désormais arrivés. Il salua chacun d'entre eux chaleureusement.

Ainsi, tel sur le champ de bataille, les Chevaliers répondent à l'appel du cor et se ruent en première ligne.
Puisse cet évènement nous faire oublier un instant nos peines et les rancœurs. Puisse cet évènement nous rassembler tous.

Il profita de faire des grimaces au tout petit de son frère Yogin pour s'apaiser, avant de se présenter à sa sœur Feuillle.

Monseigneur, bonjour à vous. Bon... Il me semble que tout est prêt. Il manque néanmoins mon témoin. Mais je pense qu'il ne tardera pas trop. Et j'aimerais bien pouvoir lui remettre les alliances aussi.

[yogin]

Yogin regarda son frere faire de droles de grimaces en se demandant s'il n'avait pas des soucis de ventre, ce qui pourrait poser des problemes lors de la ceremonie. Il se prepara mentalement a faire le plus de bruit possible au moment venu pour eviter a son frere, une gene et une honte sans pareille. Neanmoins, cela fit rire son fils et yogin en profita pour mieux le caler sous son bras. Il attendit que son frere repasse a coté de lui pour lui chuchoter doucement.

T'inquiete mon frere, s'il te prend de lacher un vent, je ferai en sorte que ca s'entende pas mais quel idée d'avoir mangé des flageolets la veille bon sang.

[Doucebrise]

   

Accompagnée de sa tite filleule Giù, Douce se retrouve devant la chapelle..toujours un peu anxieuse...puis se décide a entrer..

Regarde les invités placés près de l'autel...c'est bien loin tout ce chemin jusque là bas!!!....pensais pas que la nef était si longue à parcourir....surtout au milieu de ses invités qui attendre impatiemment l'arrivée de la mariée...

Serrant la main de Giù pour me donner un peu plus de force, de volonté, j'avance lentement, jetant un oeil à droite ou gauche pour apercevoir ses invités, voir les frères et Soeurs présents...



Apercevant son futur cher époux qui sûrement attend impatiemment....ai plutôt envie d'y courir devant l'autel tout auprès de lui.... depuis si longtemps qu'elle attend cet instant....quelques questions encore ..qui se pointent dans son esprit...Pourrais-je lui donner tout le bonheur dont il a besoin, tout l'amour qu'il mérite!!

Bon Douce!!! c'est le moment de prendre cette grande décision.....vi ..je la prend.. avec l'aide du Très-Haut ...j'arriverai à donner tout l'amour que je ressens pour lui jusqu'à la fin de ma vie.....Je l'aime tellement plus que ma vie!!......le regarde.... lui sourit tendrement.....arrive à ses côtés, lève la main pour le toucher... puis non....descend sa main et la glisse dans sa main tout en le fixant dans ses yeux...toujours aussi fascinants!!

[Liloia de Baish]

Bien installée au premier rang, prête pour mon rôle de témoin de la future mariée, je suis heureuse de voir arriver Bello mio. Il s'assoit à mes côtés et comme à notre habitude , je glisse ma main dans la sienne, me réchauffant à la chaleur de son amour.

Je lui chuchote
Ne t'inquiète pas Bello , il n'y a pas de belle mère ici , du moins pas encore ...

Croyant entendre un bruit que je n'avais pas entendu depuis bien longtemps, je me retourne pour voir mon filheul avec un petit. Je me promets de lui poser la question de qui est cet enfant quand j'aperçois Kerraaoc et Loupameth. Je les salue tous les trois d'un signe de tête et admire Douce arriver dans sa belle robe de mariée.

Nul doute que ce sera un heureux mariage...

[Drizzten]

Comme à son habitude, Drizzten était une nouvelle fois en retard. Mais cette fois-ci, ce fut un problème logistique. Ses habits de cérémonie étaient resté bloqué sur Chinon. Il avait payé un messager afin qu'il lui rapporte et ce dernier arriva mais ce matin.
Il fallut ensuite que le Bailli se prépara et ce fut long. Il devint néanmoins très jolie ment vêtue et demeura noble d'allure.

Il entra enfin dans la chapelle et coura se mettre près des futurs marié. Il était le témoin de Kerraaoc et il ne ne manquerait pour rien au monde l'honneur de cet tâche.

il chuchota après avoir salué tout le monde

Salut! Tu sais bien que j'aime bien me faire désirer. Je m'en excuse. Vous attendiez plus que moi.

[Yocto]

Les différents convives venaient peu à peu tous plus apprêtés les uns que les autres, mais il ne voyait toujours pas arriver le second témoin.

C'était un grand jour qui annonçait plein de bonheur pour deux d'entre eux.

Quand il vit enfin Drizzten arriver il fut soulagé, la cérémonie allait enfin pouvoir commencer.

Il se retourna vers sa douce en se remémorant leur mariage et toutes les joies qu'ils avaient eu le plaisir de partager depuis et lui sourit.

[Jihel]

Jihel était arrivé de Cahors avec Isa et leurs enfants aussi vite qu'il avait pu pour le mariage de sa mère. Amaury n'était encore qu'un bébé et Valentine était à peine plus âgée, difficile donc de forcer l'allure des chevaux sans les effrayer.
Parvenu dans la chapelle de l'Ordre, il vit tous les invités déjà assemblés. Parmi eux, quelques visages connus ou tout au moins aperçus lors de leur précédente venue. Là, Loupameth son beau-frère, le mari de sa soeur Cassie dont il était sans nouvelle, il espérait pouvoir lui parler en marge de la cérémonie pour s'enquérir de sa santé. Il craignait le pire....
Mais l'heure était à la fête, déjà, au centre de la nef, il apercevait sa mère Doucebrise, rayonnante auprès d'un homme qu'il ne connaissait pas encore, mais qui, sans nulle doute était son futur mari.
Il fit signe à sa mère après avoir salué tous les chevaliers présents.

[isa.]

Isa tenait Amaury contre son cœur, et serrait dans sa main celle de Valentine. Elle était fière et heureuse de pouvoir enfin présenter Amaury à Doucebrise et elle emboitait les pas de Jihel, son Amour, tout occupé à chercher sa mère.
Toutefois c'est aussi avec une légère appréhension qu'elle conduisait Valentine près de sa grand-mère car leur petite fille avait parfois des réactions déplacées, dues à une fréquentation exagérée de la mère Denis, célèbre lavandière de Cahors connue autant pour son efficacité à lutter contre les tâches difficiles que pour son caractère bien trempé.
Après avoir offert sourire sur sourire à tous ceux qu'elle croisait, elle vit à son tour Doucebrise, plus belle que jamais...

[Kerraaoc]

Ainsi, les anges existent. Kerraaoc ne pouvait définitivement plus en douter.

Tandis qu'il se tenait près de l'autel, il porta son regard vers la porte de la chapelle, et la vit.

Il n'avait jamais rencontré telle créature. Elle était si belle.

Comme au premier jour où ses lèvres s'étaient posées sur les siennes, le temps semblait suspendu.

Il la regarda... la contempla se mouvoir le long de la nef centrale.

Elle arriva enfin à ses côtés et prit sa main dans la sienne.

Il prit conscience de la présence de Drizzten près de lui, lorsque celui-ci lui chuchota dans l'oreille.

Kerraaoc lui fit un clin d’œil. Il l'estimait trop pour lui tenir rigueur.

Il lui donna discrètement un écrin, et fit un léger signe de tête, désignant le coussin sur lequel déposer les alliances.

Il plongea ensuite son regard dans celui de sa future, et réfréna l'envie de l'embrasser.

Ses pieds ne touchaient plus terre.

[Feuilllle]

... Tant de gens présents...
Cela n’étonne point : un incessant cortège d'arrivées chatoyantes et inconnues ou connue a pénétré dans une des plus simples Demeures Du Très-Haut, animé de sourires et de pieuses pensées.

Feuilllle attend que chacun prenne place, que les bruits des bancs, même remués doucement, s'estompent, que les froissements de velours et de soie se taisent, que les regards se posent tous devant l'Autel, caressant des yeux et tour à tour  la Croix Aristotélicienne et les silhouettes confondues des futurs époux, se touchant et touchantes, irradiées en devant par les lueurs des flammes cireuses.

Elle toussote, après avoir chuchoté affectueusement et secrètement au jeune couple tout proche d'elle, en souriant :

"-Voilà nous commençons, et si le bonheur officiel démarre à cet instant, il a pris racine dans vos cœurs depuis bien longtemps, et je suis ravie de vous aider à le faire reconnaître par tous maintenant."

Puis elle s'adresse à l'ensemble de l'assemblée, déposant un regard bienveillant et précis sur chaque visage, en annonçant, étendant ses mains vers eux :

"- Bienvenue, Frères et Sœurs, Amis, Témoins  et Proches des Futurs Épousés, bienvenue dans la Chapelle Saint François du Saint Sépulcre pour cette cérémonie du bonheur, qui va unir dans les liens indéfectibles Aristotéliciens DouceBrise et Kerraaoc."

Puis elle montre d'un index précis la voute de leur chapelle, en ajoutant doucement :

"- Voyez ce que l'on ne voit pas !"

Elle attend quelques instant avant de continuer, pour bien laisser le Cher Paradoxe Divin infiltrer les consciences.

"- L'Invisible, l’Impalpable, l'Immense, dont nous savons l'existence dans le fond de nos âmes, imparfaites mais aimantes pour notre Guide Suprême, reste toujours aussi peu à disposition de nos sens étriqués, qui veulent se tendre malgré tout vers Lui, Spiritualité Universelle.
Nous voyons la voute de la chapelle, mais nous ne voyons pas les Cieux, autrement que par une masse profonde et infinie, impossible à décrypter avec nos faibles capacités.
Mais nous savons.
Nous savons que notre devoir d'aimer doit se conjuguer au passé comme au futur, au présent comme dans les souvenirs.
Nous savons que but au travers de nos vies sur Terre, lieu de nos villégiatures temporelles et d'enseignement, offerte par Le Très-Haut, ne doit suivre qu'un chemin pour arriver à l'évolution de nos âmes : celui de la vertu.
Le mariage est un des Sacrements qui l'accentue.

Prions à présent, ensemble, récitons notre Pardon, puis notre Credo, qui apaiseront et illumineront nos cœur, en ce jour de liesse."

***  



... Elle ressent la Foy de tous comme un flambeau  pacifique et unificateur, doté de gratitude et d'émotions diverses.
La joie "bon enfant" typiquement humaine de chacun en arrivant sur le lieu du mariage est alors transcendée par une autre plus profonde, plus forte, presque exclusivement religieuse.

[Doucebrise]

   

Perdue dans les yeux de son amour adoré, Douce entend un chuchotis dans ses oreilles...rougit un peu et lâche sa main avec regret....écoute  Monseigneur Feuillle ...ben vi de temps en temps  c'est bien de préciser que notre Soeur Feuilllle est aussi Monseigneur....baisse la tête en joignant ses mains...prie ...

[Shaomye]

Vetue de ses habits du dimanche, Shaomye est entrée sans bruit dans la chapelle au moment où soeur Feuillle a commencé la cérémonie, quelle synchro!
Assise auprès de ses freres et soeurs, elle assiste en souriant à la cérémonie, priant pour les jeunes mariés

[Liloia de Baish]

Je salue les personnes arrivées d'un signe de tête , heureuse de voir ma sœur Shaomye.

Près de Bello mio, mes pensées s'envolaient vers notre propre mariage et le voyage qui avait suivi ... Superbes souvenirs que j’espérai renouveler après cette maudite guerre normande.  

Je récitai les prières , presque machinalement ...

Confesso a Dio Onnipotente,
a tutti i Santi e anche a voi, miei amici,
che ho molto peccato
in pensieri, in parole, in azioni.
Supplico tutti i santi e voi, miei amici,
di pregare il Creatore per me.
Che l'Altissimo ci accordi il perdono,
l'assoluzione e la remissione di tutti i nostri peccati.

Io credo in Dio, Altissimo ed Onnipotente,
Creatore del Cielo e della Terra,
Dell'Inferno e del Paradiso,
Giudice della nostra anima nell'ora della nostra morte.

In Aristotele, suo profeta,
Il figlio di Nicomaco e Phaetis,
Inviato per insegnare la saggezza
E le leggi divine dell'Universo agli uomini smarriti.

Io credo anche in Christos,
Nato da Maria e Josef.
Egli ha votato la sua vita a mostrarci il cammino del Paradiso.
E' così che dopo aver sofferto sotto Ponzio,
Egli è morto nel martirio per salvarci.
Egli ha raggiunto il Sole dove l'attendeva Aristotele alla destra dell'Altissimo.

Io credo nell'Azione Divina;
Nella Santa Chiesa Aristotelica Romana, Una ed Indivisibile;
Nella comunione dei Santi;
Nella remissione dei peccati;
Nella Vita Eterna.

AMEN

[Giulietta]

Après l'avoir habillée, j'avais suivi ma marraine dans la chapelle. Je m'étais glissée vers le fond de la salle, là où on se cachait avec Josh et Al il y avait ... longtemps déjà. Trop. On m'avait dit qu'ils étaient au paradis solaire avec Papa et Mama. J'y pensais souvent.

Je me glissais sous le banc et récitais les prières à ma façon, pensant à toute ma famille.

[rackam29]

Rackam faillit rater la cérémonie, de justesse, il arriva à la chapelle. Il se souvint de son propre mariage ici même il y a quelques temps. Que de souvenirs donc, de beaux, mais aussi de douloureux par le suite.

Bref, il s'installa après avoir saluer quelques frères et soeurs d'armes. Puis assista à l'office de Feuille. Il était content de la revoir, et il ira surement après la cérémonie la voir personnellement.

En attendant, il assistat au mariage de deux membres des plus imminents de l'ordre et des amis surtout.

[Loupameth]

Après les prières , loupameth , en regardant sa tante heureuse a coté de son futur époux ,se remémore sont mariage , qui il faut le dire était franchement raté , il battait fortement de l'aile il n'avait plus du tout de nouvelle de son épouse , il pousse un léger soupir de dépit .Il espère et le souhaite fortement qu'il en sera pas de même pour sa tante , elle qui attendait depuis très longtemps ce moment !

Dans le brouhaha de la cérémonie , il plonge dans ces pensées , il fait le vide et retrace son parcourt , tout cela le met dans le doute ,qu'elle direction a donner sur sa vie .... par moment il était découragé , puis il repartait de plus belle ... mais un rien le mettait dans le doute , allait t'il continuer ? .... savait pas!! .

Il avait promis a sa tante de tenir jusqu'au mariage et il tenait la promesse ... mais après ?

Il sort de sa pensée en voyant arrivé Frère rackam29, qu'il salue discrètement et lui fait signe qu'il y a une place a côté de lui

[Kerraaoc]

Envouté par le regard de sa tendre, Kerraaoc reprit soudainement conscience lorsqu'il entendit Monseigneur Feuillle chuchoter.

Il finit par détourner son regard et se tourna vers l’aumônier et l'écouta attentivement.

Puis il joignit ses mains et récita les prières.

Je confesse à Dieu Tout-puissant,
A tous les Saints,
Et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup pêché,
En pensée, en parole, en action.

Je supplie tous les Saints,
Et vous, mes Amis,
De prier le Créateur pour moi.

Que le Très-Haut nous accorde le pardon,
l'absolution et ma rémission de tous nos pêchés.

Amen

Kerraaoc s'arrêta un instant, comme pour méditer sur sa prière, et reprit le Credo.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Amen

[Attalus]

Attalus arriva un peu en retard. Cela avait déjà débuté. Au moins, il aurait quelque chose à ce faire pardonner.
Il faut que la circulation des charettes était folle en ce jour. Voilà c'est ce qui fallait se dire ...

.... supplie tous les Saints,
Et vous, mes Amis,
De prier le Créateur pour moi.

Que le Très-Haut nous accorde le pardon,
l'absolution et ma rémission de tous nos pêchés.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Ainsi soit il termina til comme lui avait enseigné Estoile.

Les mariés étaient fort jolies,Doucebrise avait sortie une très belle robe pour l'occasion.
Tiens, les chevaliers ne se marient pas en armure pensa t il.

[Feuilllle]

Elle est concentrée sur la cérémonie, et sent l'émotion comme à chaque fois investir les gens et les vieux murs de prières...
Elle laisse à chacun le temps de bien réfléchir, puis reprend doucement :

"-Prenons à présent un extrait du Livre des Vertus, émanant de notre cher Livre des Vertus, et citons un passage choisi par les Futurs Époux, dans le Livre de la Création, le chapître VII, L'Amour.
Souvenez-vous, Le Très-Haut a posé une seule question à l'ensemble de toutes Ses Créatures éparpillées devant Lui.
Une des Créature a répondu que la domination du fort sur le faible était la bonne réponse...
Voyons ce qu'il en est."

Elle se dirige vers le  Saint Pupitre, et l'ouvre à une page marquée d'avance d'un fin ruban béni, signée de la pieuse main d'un Ancien : Spyosu.

"1 Dieu ne répondit pas à la créature qui avait fait l’apologie de la domination du fort sur le faible.

2 Il se tourna vers un groupe de créatures. C’était justement celui qui faisait partie de l’espèce humaine et qui avait parcouru le monde. Dieu savait que ce groupe se croyait rejeté par Lui. Ces humains pensaient être privés de tout talent. Ils estimaient être mis à l’écart de la création du fait de leur prétendue infériorité. Mais, parmi eux, l’humain qui portait le nom d’Oane détenait, sans en être sûr, la réponse à la question posée par le Très Haut.

3 Car Oane doutait. Il regardait souvent les étoiles, espérant voir Dieu. Il aimait le Très Haut d’un amour sincère, mais ne savait pas si cela était le véritable sens de la vie. Il voulait bien donner sa réponse, mais il était considéré comme faible d’esprit par son groupe et personne ne voulait le laisser parler. Mais Dieu était omnipotent. Il avait écouté le groupe d’humains se plaindre. Mais surtout, Il avait perçu l’amour et le doute dans le cœur d’Oane.

4 Alors, depuis le ciel, un rayon de lumière se fit et vint nimber Oane. Toutes les créatures furent ébahies, admirant la douce lumière qui auréolait l’humain. Elles s’écartèrent alors, le laissant seul face à Dieu. Il contempla son corps enluminé d’un regard plein de curiosité. Puis il se tourna vers les membres de son groupe. Pour la première fois de sa vie, il put voir dans leur regard non pas du mépris mais du respect.

5 Et Dieu lui demanda: "Et toi, l’humain, n’as-tu rien à Me répondre ? J’ai ici convoqué toute Ma création pour trouver celui qui donnera la juste réponse à Ma question. Tu es venu et tu n’as pas répondu. Alors, maintenant, Je te somme de le faire !" Alors, Oane, terrifié par le ton sévère de son créateur, leva les yeux vers Lui et, d’un ton hésitant, dit: "Mais, ô Très Haut, je ne sais si ma réponse est juste..." Et Dieu lui ordonna: "Parle et je te le dirai !"

6 Alors, Oane répondit: "Tu as certes fait Tes créatures se nourrissant les unes des autres. Il leur faut chasser et tuer pour se nourrir. De même, il leur faut se battre pour défendre sa vie. Mais il n’y a pas de fort ni de faible. Personne ne rabaisse ni ne piétine les autres. Nous sommes tous unis dans la vie et nous sommes tous Tes humbles serviteurs. Car Tu es notre créateur."

7 "C’est pour cela que Tu as donné des talents plus beaux les uns que les autres à toutes Tes créatures. Chacune d’elles a sa place dans Ta création. Son talent permet à chacune d’elles de la trouver. De ce fait, il n’y a pas de créature préférée de Toi, ô Très Haut. Nous sommes toutes pareillement aimées par Toi et nous nous devons tous de t’aimer en retour. Car, sans Toi, nous n’existerions pas. Tu nous a créés alors que rien ne t’y obligeait et nous nous devons de t’aimer pour te remercier de ce geste."

8 "Nous sommes certes enchaînés à la matière, certes soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait. Donc, selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour." Alors Dieu dit: "Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer ses semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes."


... Les mots s'envolent vers les Âmes, et elle ajoute doucement, passant entre tous, et leur souriant :

"- Permettez-moi de réagir sur cette phrase, d'apparence simple sans être anodine :

"Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer ses semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes."

Comment pouvons-nous la comprendre en ajoutant notre réflexion?

Nous avons ici l'affirmation de notre différence, d'avec les les autres créatures, animales, octroyée elle-même par notre Seigneur.
Peut-on noter d'autres différences ?

Réfléchissons :
Besoin de se couvrir ? Nous fabriquons des vêtements. Aucun animal ne peut le faire. Il vit et survit tel qu'il a été créé.
Besoin d’un toit ? Nous construisons un abri, il varie selon un choix de matériau, comme les animaux savent également le faire. Mais un lapin construira toujours un terrier et un oiseau un nid. L’être humain construira une demeure différente selon ses goûts, ses besoins et ses possibilités climatiques et personnelles, des environnements variés donc.

Mais aussi, je le rappelle :
Besoin de partager nos émotions, ce qui est d’après moi la véritable définition du verbe communiquer ?
Nos yeux s’élargissent physiquement et les iris bordés de blancs peuvent orienter les regards et dévoiler ainsi leurs réponses.
Aucun animal sur terre ne possède cette capacité à transmettre les émotions par les regards, car leurs yeux ne possèdent pas cet entourage de blanc qui souligne la direction de la vue. (Et dans ce mot direction, il existe un autre mot franc et direct comme une main tendue.)

La parole, portée par la raison, nous permet de nous poser les questions essentielles à notre survie, et d’y répondre, physiquement, et/ou métaphysiquement. :
La foi et la raison sont plus que compatibles, l’une et l’autre se poussant et se renforçant. Les deux sont essentielles à "la bonne santé "du corps et de l’esprit, intimement liés.

Aucune croyance ne peut se propager et être efficace si elle n’est pas expliquée, commentée, renforcée par le raisonnement, mais aussi acceptée en toute confiance par ce besoin profondément enfoui dans le cœur des Hommes de croire en l’Impalpable. (Croire dans le sens spirituel)

Aucune petite flamme ne peut être éteinte définitivement si une autre personne la possède, car elle se transmet et s’échange. D’où la nécessité et le soin de croiser et retrouver régulièrement d’autres Aristotéliciens.

Toute croyance possède son mystère, nécessaire à l’introspection. Trop de réponses nuisent à l’évolution des âmes qui ont besoin de chemins libres pour avancer et s’inscrire dans un espace infini avec leurs propres réponses, tissées ensemble et en interaction les unes avec les autres ; chaque fil de trame a sa raison d’exister, la toile humaine est gigantesque, mais le Divin l’est encore plus, car Il est Infini et Omniprésent.

C'est ainsi que le Sens de l'Amour se propage également entre nous tous, et le Mariage est des plus joyeux Sacrements qui l'officialise dans le cœur des Humains et auxx yeux de tous."

[Drizzten]

Drizzten avec écouté le serment de Feuilllle et quel serment intéressant . Le mariage était décidément un jour heureux et plein de surprise. Pour une fois que Drizzten ne piquait pas du nez lors d'une cérémonie religieuse.

[Feuilllle]

Elle reprend tranquillement, et s'adresse dans un sourire affable cette fois plus spécialement au couple, en sortant de sa vaste manche un petit parchemin roulé, duquel elle dénoue délicatement le beau ruban ponceau :

"- Mes chers Frères et Sœurs, Témoin, Proches et Amis, Doucebrise et  Kerraaoc ont souhaité partager une prière avec vous, aussi je vous la lis :"

Elle leur tend les fins vélins qui leur appartiennent désormais, puis s'adresse à eux :

"- Il est à présent l'heure de passer aux vœux de votre union.
Que les Témoins se rapprochent, en se tiennent près des Futurs Mariés afin de symboliser l'aider qu'ils devront chacun donner durant leur vie entière à leurs Amis.
Répondez à ceci haut et fort devant tous ici réunis et devant tous les Saints :
Liloia de Baish, Chevalier Drizzten de Cornérius, acceptez-vous cette charge et promettez-vous d'être présents lors des tourments et des joies auxquels inévitablement ils seront confrontés, dans les larmes ou bien les rires?

Puis vous présenterez les anneaux nuptiaux que je les bénisse avant l'échange de vœu marital."

[Doucebrise]

   

Pense à toute cette année passée, des espoirs, des désespoirs même de l'énervement et quelques colères contre Dieu qui m'écoutait pas!!

Eh si!!!! Il m'écoutait mais il fallait aussi de la patience ..Que c'est difficile d'être patient et d'attendre le bon moment que Dieu a choisi....Et pourtant Dieu l'a protégé, l'a guéri, l'a aidé à retrouver sa mémoire..... et retrouver le souvenir de son amour qui l'attendait toujours...
A force de prier, je finissais par croire à son retour ..Oui j'y croyais !! Et là il est là à mes côtés...grâce à Toi mon Dieu....merci mon Dieu! Rendons grâce à Toi mon Dieu!!

Regarde son amour tendrement, ne peux s'empêcher de glisser discrètement sa main dans la sienne..
Prend le vélin que Mgr Feuillle nous tend.....écoute attentivement ses paroles.....

[Liloia de Baish]

Je pris le fin velin où était écrite la prière si belle, puis à l'invitation de Feuilllle je m'approchais de Douce et lui souris.


Puis d'une voix claire

Devant tous ici réunis, vous mes frères et mes sœurs , vous Douce et Kerraaoc et devant tous les saints, j'accepte d'aider durant ma vie entière et promets d'être présente lors des tourments et des joies auxquelles ils seront confrontés, dans les larmes et dans les rires...

Je me tournai vers mon frère Drizz afin qu'il puisse parler à son tour et présente les anneaux pour la bénédiction, ayant vu le futur marié lui glisser au début de la cérémonie.

[Kerraaoc]

Kerraaoc écoutait consciencieusement les paroles de Monseigneur Feuillle.

Il sentit la main de Doucebrise se glisser dans la sienne. Il la serra doucement, et sourit à son amour.

Il prit ensuite le vélin que tendait Monseigneur, et écouta la prière.

La lecture de la prière "Du Royaumes de la Renaissance" lui permettait de remercier solennellement le Très-Haut.

A l'article de la mort, le Très-Haut lui avait donné une chance de survivre.
A l'article de l'oubli, le Très-Haut lui avait donné une chance de se souvenir.
A l'article du désespoir, le Très-Haut lui avait donner une chance d'espérer à nouveau.

C'est grâce au Très-Haut qu'il se trouvait aujourd'hui aux côtés de son amour.
Il tenait à le remercier en lui montrant qu'il saisissait cette seconde chance et qu'il la concrétisait dès maintenant.

Kerraaoc allait bientôt montrer au Très-Haut que son effort n'était pas vain.
Il allait promettre à sa tendre devant Lui, que jamais plus, il ne la ferait souffrir, et que jamais il ne laisserait quiconque la faire souffrir.

Quand Liloia prit la parole, il se tourna vers elle et baissa la tête en remerciement.

[Feuilllle]

Il y a un profond silence...
Les Futurs se regardent, avec au fond des yeux une petite flamme vaillante qui n'envie en rien celle de la bougie placée près d'eux.

Feuilllle, souriante, reprend la parole :
"- Douce, Kerraaoc, il est temps que vous échangiez vos vœux ; que les anneaux nuptiaux soient déposés sur l'autel, que je les bénisse:

Elle présente ses mains au dessus des objets maritaux, paume vers eux...
   
"- Bénis, Dieu tout-puissant et miséricordieux, ces anneaux, témoignage de Ton amour, de Ta force et de Ton infinie miséricorde.
Amen."

Puis elle continue :

- « Vous avez l'âge voulu et n'êtes point parents. Vous êtes aristotéliciens  tous les deux et vos proches consentent à cette union. Les publications ont été faites, et les bans proclamés  dans l'église paroissiale, et vous avez des témoins ; il ne me reste plus qu'à vous demander solennellement votre consentement au mariage. C'est le moment de vous recueillir, de vous dire en vous-mêmes que vous allez avoir de grands devoirs à remplir, et de penser à Celui qui, pour bénir d'avance tous les mariages de ce monde, est toujours présent dans nos cœurs. »

Sa voix devient plus forte, pour mieux être portée plus loin...

"- Tenez-vous par la main droite et prononcez devant tous les Saints et Le Très-Haut, et devant cette pieuse assemblée le consentement sacramentel :

Kerraaoc, veux-tu pour épouse Doudebrise? et Doucebrise veux-tu pour mari Kerraaoc?"

[Kerraaoc]

Kerraaoc écouta Monseigneur reprendre la parole. C'est l'heure du moment ultime.

Il regarda son frère Drizzten déposer sur l'autel le coussin sur lequel sont exposés les alliances.

     

Il eu soudain un léger instant de crainte. Il regarda les anneaux et jeta un coup d’œil discret à sa future. Elle ne les avait jamais vu jusqu'à maintenant.
Ces alliances allaient-elles lui plaire ? Il pensait que le modèle doré serait sublime au doigt de sa douce. Lui s'était réservé un modèle plus discret.

A la demande de Monseigneur, Kerraaoc se tourna vers Doucebrise et la tint par la main droite. Son cœur battait à tout rompre.

Puis à la question prononcée: Kerraaoc, veux-tu pour épouse Doudebrise? et Doucebrise veux-tu pour mari Kerraaoc?

Il répondit d'une voix forte en regardant Doucebrise intensément dans les yeux:

Oui, je le veux.

[Drizzten]

Drizzten portait fièrement le coussin où les alliances y étaient posé. Il écoutait les mots de Kerraaoc avec attention et laissant apparaitre un sourire discret.
Il se disait que lui aussi devait penser à se marier.

[Doucebrise]

   

Douce écoute attentivement Mgr Feuillle...puis regarde Drizz qui dépose les alliances sur le coussin.....
Ohhh..pose sa main sur la bouche rapidement pour arrêter son exclamation....regarde son amour d'un air très surpris .....éblouie par la beauté de ces bijoux...extraordinaires...sublimes....commence à trembler.....ses larmes commencent à perler aux coins de ses yeux....entend la question de Monseigneur...

.......Doucebrise veux-tu pour mari Kerraaoc?

Fixe les yeux de Kerraaoc...intensément..amoureusement....prend son autre main dans les miennes et les serre fortement mais aussi tendrement.....ouvre la bouche pour répondre... pour lui dire..referme la bouche... avale sa salive et répond avec une voix assez forte....enfin essaie..

Ou..Oui je le veux ......

[Feuilllle]

Feuilllle est un peu facétieuse à ses heures, il faut lui reconnaître cette coquinerie, surtout lors des épousailles...
Mais en fin qu'attend-elle pour leur signifier qu'ils peuvent s'embrasser en tout honneur avec leurs accordailles sacrées?

La main  sur son visage baissé, elle semble prier ; cependant un petit débordement de fossette  sur la joue droite ...
^^^^

Les joues rentrées pour ne point laisser paraître sa bonhommie, elle marmonne :

"- Vous êtes maintenant unis pour la vie, pour les années suivantes, dans la joie et les peines, les difficultés et les amusements, mais éternellement dans le cœur de vos proches et sous la protection Du Divin.

Hum... Oui, donc, vous pouvez vous embrasser."

Un "AHHHHHH" retenu mais perceptible sort de quelques bouches, inéluctablement : le plaisir d'une union en fin de cérémonie est ainsi souvent ponctuée doucement et gaiement...

...  Alors de derrière les piliers de pierre, un chœur de pieux troubadours  soupire l’allégresse de la douceur de l’instant de leurs doigts agiles la psalmodie.

La musique emplit la petite chapelle, tandis que d'un signe, et dans un  joyeux brouhaha naissant, elle présente d'une main experte un plateau rempli de petits morceaux de brioche caramélisée à la Petite, à qui elle aimerait confier  le Partage, si elle le souhaite ; Feuilllle, qui s'arrange toujours pour commander dans la ville du Lieu Saint ou à sa boulangerie quelques douceurs du palais, pense que cela favorise une détente bienveillante lors des félicitations d'usage entre les membres de l'assemblée et le jeune couple.
Ce moment est toujours particulier, car convivial ; et si l'été c'est le parvis qui reçoit habituellement cet échange bon -enfant, l'hiver il est préférable de  rester à l'intérieur : Le Très-Haut, Sage Guide Suprême, doit apprécier les marques de joie dans Sa Demeure, tant qu'elles restent affables et ne deviennent point trop bruyantes...
Du moins le pense Feuilllle...

Elle sourit à tous.

[Kerraaoc]

Le bonheur était à son comble.

Kerraaoc vit Monseigneur Feuillle le visage baissée un instant, sa main posée dessus, semblant prier.

Il en profita pour prendre l'alliance destinée à sa femme. Il prit la main gauche de Doucebrise, et y enfila délicatement la bague.

[Doucebrise]

   

Toute émue, Douce regarde sa bague qui glisse sur son doigt...une merveille ce bijou!!....essuie discrètement ses yeux larmoyants puis prend la bague prévue pour son amour, la glisse doucement à l'annulaire de sa main gauche......lève la tête.....fixe ses yeux....puis s'approche de ses lèvres...et l'embrasse tendrement.....

[Feuilllle]

Code:

[b][Non mais je suis désolée si je me suis mal exprimée, mais pour vous,  [u] mes proches RR, je suis et resterai feuilllle![/u] ; le Monseigneur c'est pour les courriers officiels, genre demande d'accord à Aurélien par exemple. Rhooooo....][/b]

"- Nous souhaitons aux charmants épousés tout le bonheur et la bonne fortune qui se trouveront sur leur chemin commun,  et qu'eux-mêmes s'emploieront à faire fructifier positivement, par le partage et la réflexion, le plaisir et la peine, le travail et  l'enfantement.
Allez dans la joie et l'enthousiasme, que vos relations soient sans nuages, et que vos ripailles et vos plaisirs soient bénis.
Pace e bene."

Le Carillon se fait insistant et joyeux...

[Liloia de Baish]

Heureuse qu'ils soient enfin unis, je souriais à leur bonheur pressant doucement la main de Yocto dans la mienne.
Bientôt la cérémonie serait terminée et il me faudrait préparer une surprise dont nous avions parlé longuement avec Douce ...

[Yocto]

Serre la main de sa tendre en se souvenant du bonheur que cela avait été pour eux aussi.

Les mariés avaient une mine réjouie qui faisait plaisir à voir.

[Jihel]

Jihel voyait sa mère radieuse et il était heureux pour elle...
Il regarda Isa et lui sourit.

[Doucebrise]

   

Un bruit de paroles qui coupent le silence, fait sortir Douce de ses nuages..roses et des lèvres si douces de son époux adoré...rosit un peu devant tous ses invités qui la regarde d'un air joyeux..et moqueur....Regarde Feuilllle ...s'approche...

Merci beaucoup Feuilllle de cette magnifique cérémonie, j'ai énormément apprécié les lectures et le sermon que tu nous a offert....lui sourit..lui fait la bise pour la remercier..

Glisse sa main dans celle de son amour, regarde tous les invités....

Je vous remercie à tous de votre si gentille présence pour cette cérémonie....Je vous invite tous à nous rejoindre à la taverne au village pour fêter ensemble ce merveilleux jour que je vis aujourd'hui...avec mon époux.....le regarde... lui fait un baiser rapide sur ses lèvres...puis main dans la main, nous sortons lentement de la chapelle tout en souriant....à tous ses invités.....

[Drizzten]

Drizzten était ravi. Son ami Kerraaoc et sa Soeur Douce était uni pour la vie.
C'était un jour de fête et le Bailli se précipita pour féliciter les jeunes mariés.

félicitations à vous! Plein de bonheur pour l'avenir!

Maintenant, Drizzten devait signer le registre en tant que témoin.

[Feuilllle]

Feuilllle lui présente le beau grimoire, posé sur un fin drap d'or...

[Drizzten]

Fièrement, Drizzten apposa sa signature sur le registre tout en souriant

[Liloia de Baish]

Je m'avançais à mon tour pour signer le registre de mariage à la suite de mon Frère Drizzten



Puis m'avançais vers Douce et dis après l'avoir embrassée

Accepte Douce, au nom de l'amitié qui nous lie, cette petite dague que mon père Yugan m'avait offerte il y a bien longtemps...

J'espère qu'elle te plaira et te rappellera ce jour heureux

Puis plus bas en souriant ... C'est un cadeau "qui pique" comme on dit chez moi, tu me dois une piécette

Je me retournais et embrassai Feuilllle

Mercé ... pour tout

Comme toujours avare de mots mais pas de sentiments, je repris ma place aux côtés de Bello Yocto, tout près de lui.

[Doucebrise]

   

Prêts à reprendre la nef pour sortir, Drizz s'approche rapidement....l'écoute

Merci Drizz ....lui fait une bise en souriant de bonheur.. se retourne vers Liloia... Toute surprise je regarde le cadeau qu'elle m'a préparé..

Ohh.. merci beaucoup Liloia.... lui fait une grosse bise
Elle est superbe.....prête à en découdre si c'est nécessaire!!!...sourit
Je te remercie ma chère témoin et amie....Euhh je te donnerai ces piécettes à la salle..j'en ai pas sur moi je les prendrai en passant à mon bureau..

Reprend la main de son amour et sort lentement de la chapelle............

[Kerraaoc]

Kerraaoc aurait voulu que ce baiser ne s'arrête jamais.

Il en vint pourtant à se séparer, à contrecœur, de ces douces lèvres.

Il écouta ensuite son amour remercier l’aumônier... la remercia à son tour.

Il prit la main de son épouse et regarda la bague à son doigt en souriant.
Puis ils se tournèrent vers les invités, et laissa sa femme les remercier d'être venus.

Lui lança un simple: Oui... Merci... Merci à tous...

Kerraaoc regardait patiemment Doucebrise s'émerveiller sur le cadeau de Liloia et se tourna ensuite vers Drizzten.

Il leva son bras et posa sa main sur l'épaule de Drizzten.

Encore merci à toi...mon ami... J'attends avec impatience qu'un tel jour puisse venir jusqu'à toi. Ce jour venu, je serais là.

Et c'est main dans la main que les deux mariés commencèrent à traverser lentement la nef, lançant des merci aux invités au fur et à mesure de leur longue marche.

[Drizzten]

Drizzten fit un sourire lors des mots prononcés par son ami. C'est vrai qu'il était grand temps de se caser mais l'idée effrayait le lorrain.

Espérons mon frère! Ce jour là , je saurais compter sur toi.

[Feuilllle]

Évidemment, elle était en retard, et avait honte....

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