La danse n'est pas reservée qu'aux hommes

[Gregory Balwer de Chenot]

J'avais préparé mon frison  pour un petit exercice en espérant que Lili passerait me voir.  Shtorm était magnifique et était le digne héritier de Méphisto et Fée, respectivement   les frisons de père et mère. C'est mon père qui m'appris à monter depuis mon plus jeune âge.  Moi et mes soeurs, avions donc  passé notre jeunesse  sur le dos de nos montures.  Quoi de bien exceptionnel ayant du sang cosaque dans les veines donc?  

Un jour, j'aimerais voir  le pays   qui a vu naitre mon père et chevaucher au vent comme lui  sur les steppes  de Russie.  Mais ça,  c'était un rêve pour plus tard.  Mon frison avait fière allure   et   donc  je l'emmenais sur la manège  pour une pratique  toute autre. Ma mère  aimait faire danser  les chevaux et en son honneur, j'avais   appris à le faire avec mon oncle.  Son Altesse impériale Leonardo de Chenot.  Je ne vais pas mettre   son nom à rallonge  car on pourrait écrire un livre  rien qu'avec la signature. Mais le fait est, qu'il était tout comme mon père un bon dresseur de chevaux.  Quoique, mon oncle disait toujours  à mon père  que ses pirouettes  sur un coursier risquaient un jour de lui être fatale.  Bien heureusement ce ne fut pas la cas.  

Je pris  une longe assez   longue  et je me positionnais   au milieu du manège.  Puis  tout doucement  je rappelais  à Shtorm  comment un cheval digne de ce nom  dansait. Mon Frison se débrouillait bien,  et les souvenirs refaisait surface quand j'assistais aux dressages que ma mère avait plaisir de faire.  C'était une passion pour elle et j'en avais hérité.

[Liliana Sforza]

Après une longue matinée d'entrainement, Grégory dans mes pensée il me manqué  beaucoup, je  me rendait aux écuries afin d'aller voir Ytan et la belle monture que son blond lui avait offert.. Une fois sur place j'attendis du bruit, le bruit de talon d'un cheval, je ne devais pas être seul dans l'endroit, qui cela pouvait être présent je m'avança doucement un sourire s'afficha sur mon visage c'était Grégory  qui entrainer sa belle monture noir... Quel bête magnifique !! je m'approcha encore à le regarder le sourire aux lèvres , une sacrée surprise que voilà un petit signe afin de lui montré ma présence, je le regardais faire émerveiller par le spectacle, j'adorais les chevaux, je resta derrière les barrière afin de ne pas troubler le cheval avec ma présence mais heureuse de voir son blond .

[Gregory Balwer de Chenot]

Shtorm, ou l'étalon avec une grâce digne des plus grands. Il répondait parfaitement aux ordres et je n'avais pratiquement pas besoin d'utiliser ma longe. Sa révérence était des plus parfaite. Il faut dire qu'il avait pris énormément de patience avant de lui apprendre le geste parfait. Le genou plié et au sol le dos bien droit pour pas qu'il ne se blesse. Aujourd'hui, je pouvais être content car il le faisait pour la première fois seul.

Je le félicitais avec une friandise quand mon regard se portais vers Lili qui me faisait signe de la main . Mon sourire se dessinait sur mes lèvres et je décidais que c'était le moment pour lui parler d'une discussion, que j'avais eut avec père et mon précepteur et cousin de la jeune femme.

je m'approchais d'elle le coeur battant et j'avais ma main sur la bride de mon frison. je lui ai donnais un chaste baiser qui me donnais des ailes.

"Comment vas tu Lili?"

[Liliana Sforza]

Je le regardais d'un  regard tendre, mon coeur se mit à battre comme un fou... Je ne lâcher  pas on regard sur ce qu'il faisait, c'était super j'adorais. Je vis le regard de Grégory sur moi et son sourire, ce fût bon que nous nous retrouvions un peu tout les deux, je le laissais s'approcher le sourire aux lèvres et je lui rendit ce baiser, ce baiser qui me mit sur un petit nuage heureuse d'être prêt de lui. Je me permettais de caresser sa monture tout en l'écoutant.

Comment vas tu Lili?" Je vais bien Grégory surtout heureuse de te voir ici avec ce magnifique étalon. Dit moi c'est super ce que tu fais avec lui j'ai vraiment adorée . Je souris et lui rendit un tendre baiser , il m'avait tellement manquer...

[Gregory Balwer de Chenot]

Je lui souriais et la regardais  tendrement.  

"c'est mon oncle en Italie qui m'a appris à faire danser les chevaux.  ça a le don de détendre un peu  ce qui n'est pas plus mal."

Oui j'étais légèrement tendu  aujourd'hui et je regardais Lili avec  une légère timidité.

"Avec père, j'ai tenu une discussion auprès de ton cousin.  Nous avons parlé de toi et je lui ai demandé   une certaine chose te concernant."

Je soupire  et je ne sais pas trop comment aborder la question.  E si elle me disait non? ce serait son droit mais je serais déçu à coup sur. Je regardais autour de moi et nous étions seuls ce qui était déjà bien. Puis sans crier gare  et sans que je réfléchisse  au pourquoi du comment je la regardais  et lui prenais la main.

"Liliana accepterais tu de devenir ma femme?"

Je ployais le genou  devant elle et sorti un écrin noir  que je gardais sur moi.  Etais ce le bon moment,  je ne savais pas  mais au moins,  on le saurais vite. Mon coeur battait fort et je regardais  sa réaction.

[Liliana Sforza]

Mon regard dans le sien que je ne voulait plus lâché je lui sourit tout en l'écoutant et je pris la parole

c'est mon oncle en Italie qui m'a appris à faire danser les chevaux.  ça a le don de détendre un peu  ce qui n'est pas plus mal." Oh tu as de la famille en Italie  c'est super! Oui en effet mais c'est vraiment magnifique ce que tu as fait j'ai vraiment adorée.

Je le regardais quelque chose n'allait pas? il avait l'air tendu, un peu rouge sur ces joue que ce passait-il?? Avait-il quelque chose à me dire qu'il n'osait pas le faire... J'attendis de voir

Avec père, j'ai tenu une discussion auprès de ton cousin.  Nous avons parlé de toi et je lui ai demandé   une certaine chose te concernant Un regard vers lui, un sourire... je me demandais qu'est ce que ça pouvait être un sujet sur moi, surtout avec mon cousin je savais qu'en ce moment je me faisais rare dans la famille, mais rien était simple ces derniers temps, Je sentais mon coeur continuer de battre  comme un fou et continua de le regarder. Un lèger soupire ce faisait entendre de lui, Pourquoi? ne voulait-il plus de moi mon cousin ou son père serait-il opposé ce qui aurais plus être évident il était noble et moi non, ça me faisait mal car je l'aimais beaucoup mais la décision devait venir de la famille je n'avais absolument rien à dire .. Je le regardais et lui offrit ma main à sa demande et j'attendais la suite ...

Liliana accepterais tu de devenir ma femme?" Je le regardais, je sentais l'émotion qui monter en moi et je me répéter " Liliana veux tu être ma femme?" Je serrais ma main dans la sienne,je lui sourit. Un cours instant je le regardais se mettre à genoux et vit qu'il sortit un écrin noir et vis la bague, plus fort que moi je laissais couler une larmes sur mon visage et lui répondit. Oui !! Grégory je le désire 

[Gregory Balwer de Chenot]

Mon sourire ne quittait pas mon visage et je pris la bague de l'écrin et la fit glisser à son doigt. Mon regard ne se détachait pas du sien et je me redressais enfin pour lui donner un long et doux baiser.

"Tu fais de moi l'homme le plus heureux Lili."

Je regardais Sthorm sans lâcher la main de Liliana.

"Que dirais tu que je t'apprennes à faire danser ton cheval?"

Tout en caressant le cou de ma monture je tournais à nouveau mon regard vers celle qui deviendrait bientôt ma femme.

[Liliana Sforza]

Toute émue de la demande de Grégory, je regardais la bague qui glissé à mon doigts,elle était magnifique. Je relevais mon regard et le plongea dans le sien sans jamais ne le quitter, je caressais doucement son visage et lui rendit tendrement le doux et long baiser.


Tu fais de moi l'homme le plus heureux Lili. Et moi la femme la plus heureuse, merci la bague est magnifique Grégory quel énorme surprise me fais tu. Toujours mon regard sur lui, le sourire aux lèvre et ma main dans la sienne que je ne voulait plus lâcher, je tourna un peu le regard afin d'observer Sthorm

"Que dirais tu que je t'apprennes à faire danser ton cheval?" Voilà une excellente idée, avec plaisir de l'apprendre. Mon regard se tourna à nouveau et plongea dans celui de Grégory, l'homme avec qui je serais marié, je lui sourit avant de lui voler un tendre baiser.

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