Histoire de l'Ordre
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Histoire de l'Ordre
Drizzten a écrit:Histoire de l'Ordre, entre l'été 1099 et février 1456.
Le 7 juin 1099 l’armée des Croisés, après avoir conquis les villes de Nicée et d’Antioche, rejoignirent Jérusalem, alors gouvernée par Iftiker ad Daula, à la tête d’une garnison d’Arabes et de Soudanais .
Jérusalem était bien fortifiée, les Croisés disposaient de maigres réserves d’eau et n’étaient pas habitués à la chaleur de la Palestine, en outre ils devaient supporter d’être revêtus de lourdes armures. Pour pouvoir s’emparer de la ville, les Croisés durent construire d’énormes machines de guerre en bois qui leur permirent de pénétrer dans Jérusalem entre le 14 et le 17 juillet.
Le 17 juillet les princes aristotéliciens , une fois la ville conquise, se réunirent pour désigner le gouverneur de Jérusalem. Après de longues discussions, leur choix se porta sur Godefroy de Bouillon qui accepta mais voulut prendre seulement le titre d’ «Avoué du Saint Sépulcre» et non celui de roi.
Le pape Urbain II n’assista pas à la conquête de Jérusalem, dans l’entre-temps il était décédé.
Les Croisés trouvèrent l’église du Saint Sépulcre non gardée, à cause de l’éloignement de la communauté aristotélicienne, ce qui rendait ainsi nécessaire la création d’un corps de garde pour le Saint Sépulcre, pour lui rendre honneur dans la paix, et le défendre en cas de guerre.
L’église qui conservait le Sépulcre qui avait recueilli les dépouille mortelles de Christos devint le symbole de la victoire de l'Aristotélisme et ne pouvait pas rester sans surveillance : ce fut ainsi que Godefroy de Bouillon confia la garde de ce lieu à un groupe choisi de chevaliers.
La tradition raconte que ce devoir fut assigné à cinquante hommes qui furent détachés de l’armée qui avait conquis Jérusalem pour l'Aristotélité afin de se consacrer exclusivement à ce service: le noyau de chevaliers destinés à un tel objectif eut dès le début un rapport subordonné à l’autorité aristotélicienne.
Selon une forte probabilité on fait remonter la date de l’institution de l’Ordre Equestre du Saint Sépulcre entre le 18 juillet et le 12 août 1099 , donc entre l’élection de Godefroy de Bouillon et la bataille d’Ascalon, à laquelle prirent part les chevaliers du Saint Sépulcre .
Le premier Statut assigné à l’Ordre – probablement rédigé avant l’institution de l’Ordre- était composé de 31 articles , et on doit au nouveau Patriarche de Jérusalem, élu le premier août 1099 par le clergé présent en Terre Sainte dans la personne d’Arnulf Malecorne de Rohes, déjà chapelain de Robert de Normandie , l’initiative d’instituer aussi des chanoines auxquels on confia la gestion religieuse de l’église du Saint Sépulcre.
Godefroy agit selon l’idée du Patriarche et institua un chapitre de vingt chanoines en leur conférant la charge de procéder à l’accueil des pèlerins, à la célébration des rites religieux et au recueil des aumônes, en leur assurant aussi une rente. A partir de ce moment, à l’intérieur de l’église du saint Sépulcre coexistaient deux réalités, une laïque et une religieuse.
Le Patriarche Arnulf en 1114 décréta la transformation du Chapitre en Ordre Canonique Régulier et la direction de cette nouvelle réalité fut confiée à un Prieur en stricte dépendance du Patriarche.
Après la naissance de l’Ordre Canonique et Régulier, les Chevaliers du Saint Sépulcre s’assujettirent spontanément au Prieur de l’Ordre Canonique.
De cette fusion naquit l’Ordre Religieux-Militaire du Saint Sépulcre de Jérusalem.
Ensuite, en 1122, le pape Calliste II approuva l’Ordre, en le rendant officiel. Bien vite le nombre de ses membres se multiplia et il semble qu’en 1155 ils étaient 136.
Les armoiries de l’Ordre exprimait une puissante richesse symbolique: La couleur rouge sang pour rappeler la crucifixion, et elle est entourée de l’or rayonnant de la résurrection. La devise, en un latin médiéval populaire, est celle de la croisade : «Deus lo vult». sur les côtés, deux anges, l’un avec le bâton du voyageur et l’autre avec la lance du croisé. Tous les deux ont sur la poitrine la «coquille du pèlerin», symbole séculaire du voyageur qui se déplace pour vénérer le Sépulcre. Un trophée de guerre surmonte l’écu, un heaume de chevalier, qui rappelle la nature militaire de l’Ordre, mais qui est décoré d’une couronne d’épines.
La croix de Godefroy de Bouillon est certainement l’emblème chevaleresque le plus ancien. Elle était déjà apparue sur les étendards de la première croisade, flottant sur les tours de Jérusalem en 1099, au jour même de la conquête aritotélicienne.
En 1103 le roi Baudouin , premier souverain du royaume de Jérusalem, apparut en public entouré d’une garde de chevaliers du Saint Sépulcre, connus à cette époque sous la dénomination de «Chevaliers du Royaume Croisé».
Les chevaliers du St Sépulcre accédaient ainsi à une fonction représentative et honorifique comme la garde du Sépulcre, et en même temps, ils combattirent vaillamment sur le champ de bataille contre les sarrasins jusqu’à la perte définitive de Jérusalem.
A cette époque les chevaliers du Saint Sépulcre étaient des soldats de première ligne pour la défense de la foi, ils oeuvraient donc pour l’Eglise, mais ils n’appartenaient pas encore à l’Eglise et il est difficile d’établir à quel point de l’histoire de l’Ordre la collation pontificale soit devenue effective, formalisant le lien originaire d’appartenance régulière au système institutionnel aristotélicien.
A la fin du XIII siècle et plus précisément en 1291, après la chute du règne latin de Jérusalem causée par les armées infidèles, le début du lent déclin des Ordres militaires en Terre Sainte se ressentit. Les chevaliers survivants rentrèrent dans leurs Prieurés en Europe où l’Ordre se développa ultérieurement et bien que leur mission institutionnelle soit terminée, ils assumèrent quelques autres devoirs caritatifs et de propagation de la foi, en restant toujours fidèles à l’Eglise : de telles tâches de l’Ordre, dans les siècles suivants, furent l’objet de prestigieuses et répétées reconnaissances de la part des papes et des souverains.
L’Ordre jouissait du privilège royal de battre monnaie de ses propres armoiries et en 1341, Alphonse Ier, roi d’Aragon et de Navarre, confia un tiers du royaume d’Espagne à l’Ordre qui en assura ainsi la souveraineté. Les Chevaliers avaient le droit de grâce sur les condamnés à mort, et étaient exonérés du paiement de toute taxe ou impôts, aussi bien pour le roi que pour l’Eglise, et dans les cérémonies l’étiquette leur attribuait le premier rang avant les autres ordres chevaleresques, prérogative habituellement réservée aux familles régnantes et aux grands seigneurs.
Mais avec le temps, l'Ordre perdit en influence et se replia sur lui-même. Ses droits, Honneurs et Reconnaissances diverses, ne furent pas renouvelés, faute notamment d'interlocuteurs aptes en son sein. Ne subsistaient alors qu'une poignée de membres s'attachant à préserver ce qui restait de son maigre patrimoine, ainsi que sa mémoire, les souvenirs et objets accumulés par lui au cours de son histoire.
Dernière édition par Dandolo le Ven 01 Jan 2010, 22:42, édité 1 fois
Re: Histoire de l'Ordre
Histoire de l'Ordre, par Humbert de Corvoy, entre février 1456 et mai 1456.
Lorsqu'arriva en janvier 1456 Arkadi Stavroguine de Louvelle au poste suprême de Grand Maître de l'Ordre, s'ouvrit une ère de renaissance pour l'Ordre, qui dès lors recommença à gagner en puissance et en influence dans le Royaume, et recruta des hommes qui devaient compter par la suite parmi les plus illustres de ses membres, comme TheoIII du Parici, Dreamfinder, ou encore Adler.
Si Stavroguine impulsa à cette époque un nouvel essor à notre Ordre, il importe toutefois de préciser qu'il était loin d'être un Grand Maître parfait, tant son caractère austère et colérique impliqua d'une part une mauvaise ambiance interne dans l'Ordre, et d'autre part des problèmes diplomatiques avec des grands du Royaume.
L'horreur frappa l'Ordre au début du mois de mai 1456 lorsque, renseigné par des informateurs fiables, l'Ordre apprit que Stavroguine avait perpétré une tentative de meurtre. Par l'action énergique de TheoIII, désigné par les membres pour remplacer le Grand Maître fautif, ce dernier fut mis en procès au sein de l'Ordre et dut répondre de ses agissements criminels. Il fut donc définitivement destitué de son rôle et banni de l'Ordre. Certains discours du procès demeurent conservés sur des parchemins regroupés dans la bibliothèque de la citadelle.
TheoIII fut confirmé dans son nouveau rôle de Grand Maître, tandis que Dreamfinder accédait à la Chancellerie, et qu'Adler devenait Capitaine des armées.
A cette même époque, un incendie ravagea l'ancienne citadelle, comme mettant un terme définitif aux souvenirs du règne de Stavroguine.
On édifia alors, sous l'égide de TheoIII, un nouveau castel, commanderie où s'installa l'Ordre. Il put alors de nouveau croître paisiblement et se recentrer sur son objectif fondamental de servir le Roy.
Histoire de l'Ordre, par Humbert de Corvoy, entre mai 1456 et janvier 1457.
Lorsque fut passé le trouble de l'affaire qui avait ébranlé l'Ordre, le nouveau chapitre jeta de nouvelles bases pour continuer à édifier ce pour quoi Stavroguine avait donné la première impulsion.
La Charte, rédigée en février sous le premier Grand Maître, fut ainsi modifiée sous l'égide du second, pour donner un nouveau cadre institutionnel à l'Ordre du Saint-Sépulcre.
Cette Charte, aujourd'hui caduque, est disponible à la bibliothèque, dans le rayon des ouvrages relatifs à l'Ordre.
Au mois de mai arrivèrent à la citadelle des membres, comme Yogin ou Knarel, qui devaient marquer l'histoire de l'Ordre, tandis que d'autres obtenaient des rôles plus importants au sein du castel. Ainsi la soeur Prismatique devenait-elle courant mai Grand Commandeur de la région Sud-Ouest. Puis Drizzten devenait Bailli au cours du mois de Juin et PrincesseLenly, l'épouse de Yogin, accédait au poste d'Intendante de la citadelle.
De nouvelles figures assumaient donc la direction de l'Ordre, et durent faire face rapidement à un important conflit opposant le Roy au Grand Duché de Bretagne. Durant tout l'été de l'An de grâce 1456, les soldats du Saint-Sépulcre combattirent aux côtés de l'ost royal, notamment durant l'épique bataille de l'Orléanais, où nos frères s'illustrèrent par leur courage et leur loyauté. Un certain nombre y perdit hélas la vie, mais avec honneur.
L'engouement né de cette campagne et la renommée acquise par les faits d'armes de nos frères nous servent toujours d'exemple pour nos attitudes présentes. Mais le début de l'automne fut une période douloureuse pour l'Ordre, et fort difficile à surmonter, car la citadelle dut déplorer, en pleine période de croissance, un certain nombre d'absences longues et regrettables, ainsi que quelques départs, qui paralysèrent plusieurs mois durant la belle institution que le chapitre de TheoIII était parvenu à ériger glorieusement.
Jusqu'au mois de Décembre, l'activité de la citadelle ne cessa de décroître, pour ne plus demeurer qu'un château silencieux, à peine troublé de temps en temps par le passage des rares membres encore plus ou moins présents.
Mais ce qui avait été fait ne pouvait retomber dans l'oubli. Dès Novembre, le renouveau était en marche. Avec l'approbation de l'ensemble des frères et soeurs encore présents, le frère NeiMaD3D avait rédigé une nouvelle Charte pour rénover le fonctionnement de l'Ordre. Dans ce nouveau cadre se créa une nouvelle dynamique, incarnée par le Bailli Drizzten Cornerius, qui se démultiplia pour faire vivre la citadelle et relancer le recrutement. Aidé en cela par quelques frères, le Saint-Sépulcre reprenait vie peu à peu.
Il s'ouvrait également à l'extérieur, grâce à l'action du diplomate Humbert de Corvoy, nommé par le Chancelier Coleen.
Histoire de l'Ordre, par Humbert de Corvoy, entre janvier 1457 et avril 1457.
Janvier fut à proprement parler un tournant dans l'histoire de l'Ordre. Un nouveau chapitre se mit en place, mettant fin à la période d'incertitude qui avait suivi l'été. La triste nouvelle du décès du Grand Maître TheoIII avait précipité ce changement et Drizzten devint tout naturellement le Troisième Grand Maître de l'Ordre. Humbert de Corvoy accédait quant à lui à la charge de Chancelier. L'effort d'ouverture diplomatique de l'Ordre se poursuivit donc et un rapprochement s'effectua avec certains Ordres Royaux de chevalerie, tels que l'Ordre du Saint Esprit et l'Ordre des Dames Blanches à l'Ecu Vert, ainsi qu'avec certaines provinces du Royaume de France. Ces nouvelles alliances ou relations furent éprouvées dans le mois de Février lorsqu'un différent entre Gascogne et Guyenne appela à l'intervention armée du Saint-Sépulcre, pour garantir la paix en ces terres. Le Grand Maître Drizzten participa à cette action, ainsi que deux jeunes membres de l'Ordre, les frères Legrandalsacien et Dandolo, qui devaient jouer un rôle majeur dans l'histoire à venir.
En effet, tandis que Legrandalsacien devint bien vite Commandeur du Rhône grâce à son courage et à sa loyauté envers l'Ordre sur le champ de bataille, le cadet Dandolo, par une activité incessante et une aisance oratoire indéniable, fut nommé en mars 1457 Vice-Chancelier par le frère Humbert de Corvoy.
Histoire de l'Ordre, par Humbert de Corvoy, entre avril 1457 et août 1457.
Avril fut une nouvelle échéance décisive dans l'histoire de l'Ordre. Comme le stipulait la Charte, trois mois après la précédente élection du chapitre, un nouveau suffrage eut lieu, qui intronisa Humbert de Corvoy comme Quatrième Grand Maître de l'Ordre, tandis que Drizzten préféra occuper à nouveau la charge de Bailli, et que Dandolo devenait Chancelier.
Loin d'être une rupture, ce changement à la tête de l'Ordre devait s'inscrire dans la continuité des précédents mandats, tout en décuplant l'effort en vue d'une reconnaissance royale.
Pour cela se multiplièrent les démarches diplomatiques promouvant l'action de l'Ordre auprès d'autres entités. Mais ce fut également sur le champ de bataille que les frères du Saint-Sépulcre tâchèrent de prouver leur dévouement à la Couronne de France, s'illustrant en Gascogne contre une armée renégate dès avril et mai 1457, puis à nouveau fin juin entre Guyenne et Gascogne contre la Compagnie du Renard, puis en Bourgogne contre les Lions de Juda en juillet et enfin en Champagne aux mois de juillet et d'août, pour la défense de Compiègne contre les tristement célèbres Bourrins d'Artois.
La gloire du Saint-Sépulcre allait croissant, et attira de plus en plus de célèbres nobles du Royaume, tel Raphael83, ancien Haut Bailly de l'Ordre de l'Hospital de Saint-Jean de Jérusalem.
En août, l'Ordre comptait plus d'une trentaine de frères et soeurs, aussi fidèles que pieux et courageux, prêts à verser leur sang pour la sauvegarde du Royaume.
Quant à moi, Humbert de Corvoy, Quatrième Grand Maître de l'Ordre du Saint-Sépulcre, qui ai eu une grande part dans l'édification de cette honorable institution, je regrette de ne pouvoir en voir la continuation. Dans la confusion d'une bataille aux portes de Compiègne, je fus atteint par un coup mortel et je sens peu à peu la vie me quitter. Sur ce lit où je suis sur le point d'expirer, j'ai donc tenté de relater l'Histoire de l'Ordre du Saint-Sépulcre depuis son Renouveau, le plus fidèlement qu'il me l'a été possible, m'appuyant sur mes souvenirs et sur ceux de frères et soeurs tels que Drizzten, Knarel, Prismatique et Jerome1976.
Puisse Dieu protéger mon successeur et les frères présents et à venir du Saint-Sépulcre.
Deus Lo Vult.
Les Grands Maîtres de l'Ordre Equestre du Saint-Sépulcre :
(par Humbert de Corvoy)
Premier Grand Maître : Arkadi Stavroguine de Louvelle
Il fut le principal artisan du Renouveau de l'Ordre dès le début de l'année 1456. Souvent dépeint comme un homme d'une grande sévérité, à l'intérieur même des murs de la citadelle du Saint-Sépulcre, il a longtemps été déconsidéré dans l'histoire de l'Ordre. Accusé en mai 1456 d'être un assassin, il fut ainsi dégradé et banni de l'Ordre qu'il avait refondé, et sa citadelle fut brûlée par les nouveaux dirigeants de l'institution.
Mais, bien que l'accusation puisse être considérée comme valable, il me paraît important de réhabiliter sa mémoire, comme celle d'un homme noble et dévoué à son Roy, et l'ayant hautement servi en redonnant vie à l'Ordre du Saint-Sépulcre dont nous sommes aujourd'hui les membres. Quelques aient pu être les erreurs de Stavroguine, les frères du Saint-Sépulcre sont les héritiers de sa bienheureuse initiative originelle.
Deuxième Grand Maître : TheoIII du Parici
Accompagné de Dreamfinder et d'Adler en particulier, il permit à l'Ordre de demeurer juste en dépit de la compromission de son Grand Maître, et succéda tout naturellement à celui-ci. Sous sa direction, l'Ordre acquit gloire et renommée, en particulier suite à la Bataille de l'Orléanais en juillet 1456, tandis que de talentueux et courageux membres s'illustraient et accédaient aux plus hautes fonctions internes.
Yogin, Drizzten, Prismatique, Knarel, Jerome1976 furent parmi les principaux frères et soeurs à devenir grâce à TheoIII des membres indispensables à l'Ordre.
Aussi la fin de l'été fut-elle un terrible coup dur pour l'Ordre, avec la perte de nombreux membres.
La nouvelle de la mort de TheoIII parvint à la citadelle en janvier 1457 et de glorieuses funérailles furent alors organisées sous l'égide de Drizzten pour honorer celui qui avait élevé l'Ordre au faîte de sa gloire. Homme droit et charismatique, TheoIII demeure dans les mémoires des frères du Saint-Sépulcre.
Troisième Grand Maître : Drizzten Cornérius
Ayant porté l'Ordre du Saint-Sépulcre à bout de bras depuis trois mois, suite aux absences cumulées des autres dirigeants de l'Ordre, Drizzten fut le principal artisan de la survie de l'Ordre en cette période sombre. Il en devint naturellement le Grand Maître en janvier. S'appuyant sur des collaborateurs tels que Prismatique, Lionix, Corvoy, Knarel, Jerome1976 et Legrandalsacien, il redonna à l'Ordre un fonctionnement normal et creusa les fondations d'une véritable nouvelle expansion.
Homme généreux, sincère, courageux et loyal, Drizzten reste comme le glorieux coeur de l'Ordre, celui qui sut lui redonner vie et perpétuer cette vie.
Quatrième Grand Maître : Humbert de Corvoy
Promu frère et diplomate en décembre 1456, puis nommé Chancelier en janvier 1457 et élu Grand Maître en avril, il connut une ascension fulgurante au sein de l'Ordre. Organisateur méticuleux mais aussi diplomate talentueux et combattant courageux, Humbert de Corvoy prit la suite de Drizzten, tout en s'efforçant de rationnaliser le fonctionnement institutionnel de l'Ordre. S'appuyant sur les frères Drizzten, Dandolo et Legrandalsacien en particulier, il parvint à faire croître l'Ordre au-delà même des honneurs atteints sous la direction de TheoIII en multipliant les actions militaires et diplomatiques en vue de la reconnaissance royale de l'Ordre.
Blessé au cours de la bataille de Compiègne fin août 1457 alors qu'il dirigeait le contingent de frères du Saint-Sépulcre dans cette campagne, il laissa vacante sa place de Grand Maître.
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